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    On m'a demandé un jour :
    Que préfères-tu chez ton amour
    Parmi toutes les belles choses
    Qui composent la beauté de ta rose
    Quelle est celle que tu adores
    Tu chéris et tu savoures ?
     
    Sans attendre, je répondis :
    « Ma femme est la lune,
    elle éclaire et elle illumine.
    Ma femme est le bonheur,
    elle enchante et elle ensorcelle.
    Son visage est celui d'un ange
    Son regard est tel un éclair
    Et son sourire ?
    O mon cœur ! c'est le remède !!!
     
    En elle tout est dictame
    Et rien ne peut être préférer.
    Pour moi, ma femme est la vie
    Pour moi, ma femme est l'énergie
    Pour moi, ma femme est l'illumination
    Elle est ma muse et celle que j'adore et que j'aime.


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  •        Madame Bernadette Fournez était une demoiselle âgée de soixante-trois ans. Sa réputation de « Je me mêle toujours de ce qui ne me regarde pas » la précédait. Elle trouvait toujours le moyen pour fourrer son petit nez pointu dans les affaires des autres.


            En ce moment, un grand mystère entourait toute son existence, une curiosité extrême envahissait tout son corps vieilli par le poids de tant d'années. Elle donnerait toute sa fortune....Non !!! toute sa vie  pour avoir l'opportunité de fourrer non pas son nez cette fois, mais son œil un instant seulement dans le trou qui se trouvait dans la muraille devant laquelle elle passait quotidiennement et ne savait pas ce qui se tramait  derrière. Elle n'aimait pas la phrase « Je ne sais pas !!! » Un seul coup d'œil dans cette minuscule percée suffirait...Ah ! Bon Dieu comme cela serait agréable !!!


              Tenant son courage à deux mains, Mme Fournez décida alors d'assouvir sa curiosité ce matin même. De très bonne heure, elle sortit de  sa demeure afin de ne croiser personne ... En s'approchant de la muraille, son cœur commença à battre la chamade. Une seule question emplissait tout son intérieur « Que vais-je voir ??? » Plus que dix mètres avant d'arriver à l'endroit de sa délivrance. Plus que trois, deux, un mètre. Elle s'approcha de la muraille et voulut fourrer son œil dans cette ouverture ; malheureusement, de loin apparut un homme accompagné  de son chien. Il s'avançait d'un pas lent et suivi de son clébard. Au même moment, elle s'éloigna d'un mètre du mur, fit semblant de chercher dans son vieux, vieux, vieux sac noir. Le passage de ce monsieur avait duré une éternité pour notre curieuse. Quand il s'était perdu à l'horizon, elle se précipita telle une folle vers le trou et y fourra son œil avec un gigantesque soupir....


    -         Ahhhh ! Bon sang !!!! Mais c'est... c'est....c'est...


    Mais qu'a-t-elle vu au juste? Il faudrait attendre la suite....


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