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Par le goéland le 18 Juillet 2012 à 23:25
O suffocante chaleur
Souffle de l'enfer….
Qui opprime mon atmosphère
Et accroit la lugubre rumeur !!!
O terrible calamité….
Qui s’abat sur cette humanité…
Tant alléchée
Par le goût amer des péchés…
AISSAOUI Med Azzeddine
Peinture: Atman, Croissant Chaud
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Par le goéland le 6 Août 2010 à 10:57
Femme
Tu es ma mère,
Tu es ma sœur
Ou tu es ma femme…
Tu es ma voisine
Ou tu es une inconnue…
Tu es une Aïcha
Ou une Marie…
Comment pourrai-je t’outrager
Te maltraiter,
Ou te négliger ?
Tu es ma mère,
Je suis le fruit béni de tes entrailles
Moi ! Ta progéniture
Pourrai-je te causer du mal ?
Source fertile de douceur
Toi ! Ma génitrice ?
Tu es ma mère,
Tu es ma sœur
Ou tu es ma femme…
Tu es ma voisine
Ou tu es une inconnue…
Tu es une Aïcha
Ou une Marie
Descendante d’Eve la Sainte:
Mère vénérée de toute l’humanité
Comment pourrai-je moi l’homme
Te causer des préjudices ?
Toi ma femme adorée
Celle que j’ai choisie
Pour le meilleur et pour le pire
Avec qui j’ai partagé
Toute ma vie
Toi ma femme chérie
Mère de mes enfants
Pourrai-je moi l’homme
T’humilier, te rabaisser
Toi, la perle qui émaille
Ma pauvre existence?
Tu es ma mère,
Tu es ma sœur
Ou tu es ma femme…
Tu es ma voisine
Ou tu es une inconnue…
Tu es une Aïcha
Ou une Marie
Mon égard envers toi
Défie les astres
Et surpasse les montagnes
O Femme, women, امرأة
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Par le goéland le 23 Mars 2009 à 09:48
Coexistence
Il usurpe ma patrie,
S’empare de mes terres
Et détruit ma bâtisse
Je l’accueille avec les fleurs
Le sourire aux lèvres
Et les bras ouverts ?
Coexiste
Il assassine mon père et ma mère,
Viole mes sœurs
Et affame mes frères
Je l’accueille avec les fleurs
Le sourire aux lèvres
Et les bras ouverts ?
Coexiste
Il supplante le rire par les pleurs,
La joie par la tristesse
Et l’irisation de mon tableau par le noir
Je l’accueille avec les fleurs
Le sourire aux lèvres
Et les bras ouverts ?
Coexiste
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Par le goéland le 4 Septembre 2008 à 10:51
Palpitations
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Au tréfonds de mon être,
Ne cessent de s'abattre :
Flots de palpitations ;
A tort ou à raison !
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Heurtant les murs étanches
De mon buste haletant.
Se font sentir tout proche,
Des flux de coups battants
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Mon cœur est en émoi ;
D'effroi ou bien de joie
Cela paraît de soi !
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Il n'y a plus de répit
Le jour ou bien la nuit...
Cela paraît de soi !
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Au tréfonds de mon être,
Ne cessent de s'abattre :
Flots de palpitations ;
A tort ou à raison !
<o:p> </o:p>
Heurtant les murs étanches
De mon buste haletant
Se font sentir tout proche
Des flux de coups battants
<o:p> </o:p>
Mon pauvre cœur qui souffre
Toujours auprès du gouffre
Il larmoie en silence.
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Mon bon cœur qui s'enflamme
Et le bonheur, acclame
Nageant dans l'opulence.
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Flots de palpitations
Accompagnant sans cesse
L'irisation d'une vie
Ou ses pleurs de tristesse.
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7 commentaires -
Par le goéland le 30 Août 2008 à 09:27
Je l'ai cueillie un bon matin,
Dans le jardin de la passion.
Augure parmi les augures de mon destin ;
Fruit de l'arbre de mon hasard en admiration.
<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p> </o:p>
Au sein de toutes les belles fleurs,
Je l'ai choisie, ô mon cœur !
Je ne savais pas pourquoi ?
Mais j'étais désarmé devant tant d'alois.
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Elle illuminait le ciel
Par l'éclat de son épanouissement ;
Sensationnelle, exceptionnelle ;
Elle immergeait dans un vif éblouissement.
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Cette resplendissante rose
Exhalait une sublime fragrance,
Etablissant avec la nature une parfaite osmose
Et intensifiait mon ravissement, mon attirance.
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J'étais en extase devant tant de beauté ;
J'étais en contemplation devant sa magnanimité
Et l'accord du jardinier, j'ai sollicité
Pour qu'il me laisse en profiter.
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De cette rose blanche,
Qui a bu, en cette matinée, l'eau de mon âme franche
Si bien qu'elle a déployé vers moi ses pétales
Et baissé sa garde comme signe amical.
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Je l'ai cueillie ce bon matin
En tenant le bonheur par la main
J'avais pour une fois raison
Elle a donné la vitalité à ma maison.
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